Bonjours à tous !!!
J'aurais besoin de votre aide: j'ai un commentaire de phrase à faire pour lundi sur la phrase "Il ne faut pas toucher aux idoles : la dorure nous en reste aux doigts."(Gustave Flaubert) de minimum 4 pages
Si vous pouviez m'aider, me donner de idées, et caetera...
Merci d'avance
ben en fait sur certaines statues dorées, quand tu les touches avec les mains, il arrive que certaines particules décoratives se détachent et forment une fine pellicule sur la pulpe des doigts. pour réduire les chances que ça se produise, il vaut mieux se laver les mains avant pour en retirer la graisse, qui attire ces poussières.
I'm on a boat motherfucker, don't you ever forget
Sally Le 04/10/2008 à 13:31 ou mettre des gants adaptés
« Le bonheur, c'est une carte de bibliothèque ! » —
The gostak distims the doshes.Membrane fondatrice de la confrérie des
artistes flous.
L'univers est-il un
dodécaèdre de Poincaré ?
(``
·\ powaaaaaaaaa ! #love#
(4 pages, en route pour 120 post, courage les gars)
J'ai déja écrit
"Dans son roman Madame Bovary, Gustave Flaubert, philosophe du XVIII° siècle, écrit la phrase suivante : "Il ne faut pas toucher aux idoles : la dorure nous en reste aux doigts.". Que veut il dire par cet étrange énoncé? Quel est son sens caché?
Tout d'abord, on sonde le sens "premier" de cette phrase : les idoles (dieux dits païens, c'est à dire non reconnus par les religions Monothéistes) sont souvent fabriqués en bois et recouverts d'une sorte de vernis doré que l'on appelle la dorure. Ce revêtement donne une illusion de richesse, de splendeur car on a l'impression que l'idole est faite d'or. Mais quand on y touche, la dorure se détache, s'écaille et laisse apparaître le bois dans lequel a été sculpté la statue : or, le bois n'est pas un matériau précieux et on se rend compte que la statue est ordinaire, qu'elle ne possède rien de divin : rien ne la différencie des statues en bois bon marché accessibles à chacun, mis à part une dorure de mauvaise qualité qui se détache dès que l'on y pose les doigts.
Si l'on transpose ce genre de situations dans la réalité quotidienne, en adoptant le sens dérivé du mot idole (qui m'est plus une statue de dieu, mais une personne que l'on considère comme idéale,que l'on rêve de rencontrer, à laquelle on voue une admiration quasiment aveugle), il se trouve que l'on "
Nil Le 04/10/2008 à 13:56 Mais à ce moment-là, pourquoi dit-il que "ça reste sur les doigts", et pas que ça s'écaille en tombant, que ça s'oxyde, ou quoi que ce soit ?
Quelle est la notion contenue dans ce transfert de matériau tape à l'oeil ? Est-ce que c'est juste pour dire que ce n'est que plaqué et ça s'en va ? Ou est-ce qu'on peut trouver une certaine importance dans le fait d'être "souillé" par ce qui est un peu noble (une dorure, c'est généralement fait avec de l'or, mais juste ce qu'il faut pour que ça paraisse doré) mais surtout artificiellement clinquant ?
Une dorure, c'est pas forcément un feuille d'or, si? ça peut aussi être une sorte de peinture... dites moi si je me trompe.:/
En effet, ça peut l'être.
Ca avence, ça avence...
Dans son roman Madame Bovary, Gustave Flaubert, écrivain français du XIX ° siècle, écrit la phrase suivante : "Il ne faut pas toucher aux idoles : la dorure nous en reste aux doigts.". Que veut-il dire par cet étrange énoncé? Quel est son sens caché?
Tout d'abord, on sonde le sens "premier" de cette phrase : les idoles (dieux dits païens, c’est-à-dire non reconnus par les religions Monothéistes) sont souvent fabriqués en bois et recouverts d'une sorte de vernis doré que l'on appelle la dorure. Ce revêtement donne une illusion de richesse, de splendeur car on a l'impression que l'idole est faite d'or. Mais quand on y touche, la dorure se détache, s'écaille et laisse apparaître le bois dans lequel a été sculpté la statue : or, le bois n'est pas un matériau précieux et on se rend compte que la statue est ordinaire, qu'elle ne possède rien de divin : rien ne la différencie des statues en bois bon marché accessibles à chacun, mis à part une dorure de mauvaise qualité qui se détache dès que l'on y pose les doigts.
Si l'on transpose ce genre de situations dans la réalité quotidienne, en adoptant le sens dérivé du mot idole, qui m'est plus une statue de dieu, mais une personne que l'on considère comme idéale,que l'on rêve de rencontrer, que l'on considère comme un modèle, à qui on voue une admiration quasiment aveugle jusqu'au jour où l'on a l'occasion de l'observer d'assez près pour se rendre compte qu'elle a des défauts et que c'est une personne normale, différenciée des autres que par leur apparence. Cette
La question qui se pose alors est "Vaut-il mieux vivre dans l'illusion ou dans la réalité?"
L'illusion peut signifier un bonheur fragile, entretenu par l' espoir d'arriver à quelque chose qui nous apparaît comme un idéal. Évidemment, on court à chaque instant le risque de se rendre compte que ce but que l'on poursuit depuis si longtemps n'est pas la perfection comme on le pensait, mais quelque chose de insignifiant, de banal, n'ayant rien à voir avec la quasi-perfection que l'on voyait dans cet idole.
La réalité est souvent plus terne que l'illusion, mais on pourrait penser qu'il est de vivre avec la conscience de ce qui est illusion et ce qui ne l'est pas car ainsi, on ne court pas le risque d’un retour douloureux à la « vraie vie ». Néanmoins, cela ne veut pas dire qu’il est complètement malsain d’admirer quelqu’un, mais il ne faut pas confondre celui-ci avec une sorte de personnification de l’idéal que l’on poursuit, au risque d’être déçu.
Tu peux aussi chercher à définir le mot "toucher", il y a plusieurs façons de l'interpréter...
« The biggest civil liberty of all is not to be killed by a terrorist. » (Geoff Hoon, ministre des transports anglais)