Envie de faire deux métiers mais n'a qu'une vie - Page 1

Bonjour à tous,

Je poste ici pour faire part de quelque chose qui me turlupine depuis bien un an et demi, voir plus (à différentes intensités au cours du temps).

Je suis titulaire d'un DUT informatique français, actuellement en train de faire la dernière année d'un BSc (équivalent de bac+3/bac+4) en Angleterre en Sciences Informatique.

Au début de mon DUT j'avais pour plan de faire une école d'ingé/master et d'aller bosser, mais le temps m'a révélé que j'étais bcp plus attiré par les sciences informatiques pures et mathématiques que les applications "industrielles"- tout cela confirmé par mon stage de fin de DUT dans une SSII de dév web que j'ai détesté.

Je me suis donc décidé de poursuivre en sciences informatique plus théoriques (la raison pour laquelle je suis en Angleterre, je me spécialise actuellement en IA), pour ensuite poursuivre un doctorat (PhD) aux US/Angleterre (là bas on peut le faire direct après un BSc. d'oú le fait que je me suis "transféré" afin de court circuiter des années- alors qu'en France il me faudrait passer par un master dont au moins la première année ne serait pas orientée recherche, plus le fait que ma copine est américaine, plus le fait que j'ai grandi aux US donc étudier en France ou en pays anglophone revient au même pour moi).

Le truc, c'est qu'en parallèle de ça, je bosse dans des centres de vacances avec le BAFA depuis plus de 3 ans, et dans des écoles avec des profs pour sensibiliser les élèves à la technologie, et j'aime enseigner, ainsi que le contact avec les enfants. Et j'ai une envie persistante de faire instit en primaire voir prof de sciences au collège-lycée.

Initialement je m'étais dit qu'un doctorat plus carrière de chercheur/enseignant répondrait à mon besoin d'enseigner et de bosser dans un domaine pointu qui m'intéresse. Mais je ne sais pas si au bout du compte ça répondra à mon envie d'enseigner, surtout que des enfants ou des étudiants, c'est sacrément différent.

Bref, autant en DUT je me disais que j'avais encore le temps, autant là ça commence à devenir pressant- je suis en train de préparer mes candidatures pour programmes doctoraux en ce moment, et si je m'engage là dedans c'est pour de bon- mais parallèlement si je décide de rentrer en France pour préparer le concours d'instit tout ça, c'est plus ou moins pour de bon aussi.

Plus, facteur humain non négligeable, ma copine est américaine et si je décide de rentrer en France, elle aura du mal à suivre- le plan initial et actuel, c'est qu'on trouve quelque tous les deux aux US/Angleterre. Elle va obtenir un bachelor en anthropologie/français à la fin de l'année, et songe à aller en école culinaire par la suite, mais prévoyait de bosser en gros un an avant tout cela.

Enfin bref c'est le bazar dans ma tête, toute aide/conseil/expérience serait appréciée.

Go where the money is.

PoissonPilote (./1) :
Et j'ai une envie persistante de faire instit en primaire voir prof de sciences au collège-lycée.

Va voir quelques profs de collège/lycée, je suis sûr qu'ils te montreront comment le métier peut être abominable, surtout dans certaines zones. Après, t'iras faire ta thèse.

./3. En lisant ./1, c'est à peu près ce que je me disais que j'allais répondre sur l'état du métier de prof de collège/lycée

La plupart des jeunes profs commencent dans les endroits difficiles, face à des classes dont une proportion d'autant plus importante est en échec scolaire et pas du tout motivée par l'école.
Même en tant qu'enseignant de TD/TP à la fac, tu ne rencontrerais pas que des élèves motivés avant bac+5 (et encore...) - et en général, pour faire des TD/TP à la fac, il faut être en thèse, ou l'avoir déjà finie.

prof c'est vrai que selon l'endroit où on tombe, ca peut être difficile, mais il y a des personnes qui ont ca dans le sang (si je puis dire) et qui y arrive très bien quelque soit le public

Pis si on veut un public un tout petit peu plus facile (et encore ca dépend des établissements, il existe aussi des internats qui récupèrent les plus démotivés) il y a l'enseignement dans le privé.

Je dirai aussi que le fait d'etre prof au college-lycée n'est pas incompatible avec le fait de faire de la recherche. J'ai une collegue qui est prof et qui a fait sa thèse en meme temps (ca complique un peu mais c pas impossible). Dans la théorie, il est possible d'avoir des heures de décharges pour faire de la recherche ou de la formation. Du coup tu pourrais faire par exemple un mi-temps dans l'enseignement (9h devant élèves du college) et le reste du temps faire de la recherche. Maintenant je ne connais pas du tout les modalités pour faire tout ca

Sinon pour ce qui est de l'étranger, il existe des écoles francaises dans un peu tous les pays donc l'angleterre/les US sont pas forcement incompatibles avec le fait d'enseigner. En plus si tu es parfaitement bilingue tu peux aussi envisager de te renseigner sur comment devenir prof dans ces pays là, ils ont aussi des colleges/lycees et des primaires la bas meme si les conditions des profs (salaire/vacances/nombres d'heures) sont pas forcement les mêmes.

Derniere chose, il faut faire attention, le recrutement des profs commence à changer en france, on commence à aller vers une masterisation avant de pouvoir passer le concours par contre j'ai pas les détails sur ce qu'il en est exactement au jour d'aujourd'hui.

J'ai un peu le même problème que toi (sauf que j'ai eu un parcours universitaire sensiblement différent).

Je fais un 3615 mylife, mais je pense que c'est important pour comprendre mon chemin et voir si mes conseils/remarques peuvent être compatibles avec ta situation.

J'ai toujours eu envie de faire énormément de choses, pas forcément compatibles entre elles.
Quand j'étais petit (vers 7/8 ans), je voulais être écrivain. Puis (vers 9 ans) écrivain et archéologue. Ca a duré jusqu'en 5ème.
A partir de là, j'ai voulu être écrivain et informaticien. Puis, vers la seconde, j'ai voulu être écrivain, informaticien et musicien.
J'ai failli ne pas faire d'études scientifiques pour faire un bac L option musique. Mais je connaissais les limites des études musicales (non seulement c'est difficile, mais les places sont extrêmement chères et, surtout, il n'y en a pas pour les gens "moyens"). J'ai donc fait un bac S option TI (ancien E, devenu S option SI). Puis un DUT, sans rien derrière parce que les maths et les études, ça me gonflait. En parallèle, j'étais au conservatoire, et après mon DUT, j'ai fait un an 1/2 de musicologie en fac de lettres.

On m'a proposé pas mal de trucs, en particulier dans l'informatique musicale. Mais ça ne me plaisait pas (du tout) : l'informatique musicale fait entrer en jeu beaucoup trop de physique et de mathématiques pour que ça soit vraiment un domaine qui me plaise.

Parallèlement à ça, je me suis mis à bosser avec des lycéens, et j'ai réalisé à quel point la transmission du savoir, le défi d'intéresser et le contact avec un âge où beaucoup de choses se construisent étaient important pour moi. J'avais toujours eu envie d'enseigner, mais là, c'était "plus que ça".

Après mon année et demi de musicologie, j'ai passé des concours pour être informaticien dans le service public. Principalement parce que je connaissais mes limites personnelles en musique, mais aussi parce que j'avais envie d'indépendance financière.

J'aime mon boulot (même si ça n'est pas évident tous les jours, principalement à cause du facteur humain - qui est aussi le plus intéressant, eh oui) ; j'ai choisi le secteur public déjà à cause de convictions personnelles (sur le rôle de l'Etat dans la société) mais aussi parce que je savais que je n'aurais pas les inconvénients d'un travail en SSII (je n'en ai pas non plus les avantages, mais je préfère ma situation actuelle). Ca me permet d'avoir une vie de famille, des activités compatibles avec mes autres passions (j'écris, je fais de la musique - pas au niveau que j'aimerais avoir, mais on me demande régulièrement de cachetonner avec des ensembles semi-pros - voire pro très occasionnellement quand ils manquent de monde).
Ca répond partiellement à ce que je cherche. Je reste frustré sur beaucoup de points (interdit de citer cette phrase hors de son contexte ), en particulier parce que je me dis que je n'irai jamais au bout de ce que j'aimerais faire (mais, en réalité, ça n'est pas vrai puisqu'il y a énormément de temps où je glande et suis improductif que je pourrais consacrer à l'une de ces deux activités).

Ca ne répond pas non plus à un de mes "besoins", celui de l'enseignement. J'ai très sérieusement pensé à me reconvertir en prof de techno en collège, mais ça n'est pas la discipline qui me plait fondamentalement. A tout choisir, être prof de français me plairait énormément. Sauf que ça implique reprendre de nouvelles études (alors que, par ailleurs, je pense faire une VAE en informatique) et, surtout, recommencer un cursus professionnel avec tous les inconvénients que ça représente (être nommé en région parisienne alors même qu'on vient de s'installer dans la ville qu'on cherchait à rejoindre...).

Pour l'instant je n'ai pas de réponse à ça ; j'ai trouvé un équilibre satisfaisant jusqu'à présent, et je me dis qu'il est fort probable qu'un jour je change de profession...

PoissonPilote : Je te suggère de faire ton PhD et de faire de la recherche, tu pourras toujours faire de la médiation scientifique à côté, auprès de tout type de public.

Nil (./6) :
J'aime mon boulot (même si ça n'est pas évident tous les jours, principalement à cause du facteur humain - qui est aussi le plus intéressant, eh oui)

Tu fais quoi précisément ?

mais aussi parce que je savais que je n'aurais pas les inconvénients d'un travail en SSII

Lesquels ?

je n'en ai pas non plus les avantages

Lesquels ?

PoissonPilote (./1) :
des enfants ou des étudiants, c'est sacrément différent.

Meuh non, les étudiants sont de grands enfants

Mon avis : fait de la recherche dans ton métier, et de l'"enseignement" à côté dans le cadre d'une association ou quelque chose de similaire. Pour aimer le métier qu'on fait, il faut non seulement être intéressé par ce qu'on fait, mais aussi que ça soit au point que ça contrebalance les aspects casse-pieds du boulot. Avec une activité annexe (milieu associatif, hobby, etc.), tu peux avoir les avantages sans une grosse partie des inconvénients.

Perso : moi c'est l'électronique, l'info bas-niveau et le son/la musique qui m'intéressent. J'ai envisagé de travailler dans ce dernier domaine, mais je me suis aperçu que je n'avais probablement pas un niveau suffisant pour en vivre, et que les aspects négatifs d'une activité professionnelle m'auraient trop fait chier ; donc j'ai choisi l'électronique comme métier, et la musique dans mes loisirs.

(bon, si je pouvais décrocher un boulot en conception d'instruments de musique électroniques, ce serait , mais on ne peut pas tout avoir )

Sasume (./7) :

Nil (./6) :
J'aime mon boulot (même si ça n'est pas évident tous les jours, principalement à cause du facteur humain - qui est aussi le plus intéressant, eh oui)

Tu fais quoi précisément ?

Je suis développeur dans l'enseignement supérieur. Concrètement, je développe des applications pour les services administratifs, je fais aussi beaucoup d'intégration (on n'a pas les moyens de tout développer en interne et ça serait débile vu que, bien souvent, les outils existent déjà par ailleurs, soit dans le privé soit dans les autres établissements) et pas mal de suivi de projet sous-traité (ça c'est assez spécifique à mon établissement, on n'est que trois au service informatique, donc ça limite pas mal, surtout qu'il y a quand même des incompressibles).
Outre ça, j'ai aussi une fonction d'urbaniste des systèmes d'information (avec le temps, c'est d'ailleurs plus ma spécialité que le développement pur et dur... il y a beaucoup de choses que je ne pratique plus au niveau techniques de programmation - en particulier au niveau objet - alors que j'ai développé des compétences en matière de DSI, gestion des identités numériques, annuaires, etc.).

Sasume (./7) :

mais aussi parce que je savais que je n'aurais pas les inconvénients d'un travail en SSII

Lesquels ?

- pouvoir être envoyé en mission chez des clients plus ou moins loin de mon domicile
- avoir une double pression, côté client et côté SSII, et un rapport fort client/prestataire (cette pression existe quand même, mais de façon bien moindre : les "clients" sont les autres services ou la direction, donc ce sont d'abord des collègues, avec ce que ça implique d'équilibre des "pouvoirs humains")
- pas de pression économique (pour l'instant en tout cas, le vent tourne sacrément à ce niveau) : s'il n'y a plus besoin de développeurs/intégrateurs, c'est pas grave, je me reconvertis dans autre chose [réseaux, SI, téléphonie, statistiques, systèmes, TICE, etc.] ; le risque d'être licencié pour raisons économique est particulièrement faible (mais bon, les contrats de droit privé sont arrivés dans le public et vont être de plus en plus utilisés, et comme la gestion financière va être déléguée aux établissements, je pense qu'on va droit à un système similaire à celui du privé).
- je ne risque pas d'être muté contre mon gré (il y a quand même des exceptions, lors de la fermeture d'une structure mais, en règle générale, il y a un reclassement dans les autres établissements de la ville)
- la pression de la hiérarchie est toute relative (personnellement, je la ressent beaucoup, mais c'est lié à mon éducation et à ma façon d'être par rapport à cette hiérarchie ; si vraiment je ne voulais rien foutre et rester planqué à vie, je pourrais... les recours pour licencier un glandeur dans la fonction publique sont assez compliqués et vu qu'il n'y a - là aussi c'est en train de changer - qu'un très faible levier méritocratique, il n'y a pas de notion de bâton/carotte.
- je peux faire passer ma vie familiale avant ma vie professionnelle. Pas au niveau horaires, hein. Mais j'ai la chance de pouvoir faire une coupure nette entre le boulot et chez moi parce que les problèmes du taff ne débordent pas sur le privé (c'est principalement lié à la sécurité de l'emploi)

Sasume (./7) :

je n'en ai pas non plus les avantages

Lesquels ?

Je n'en vois que deux, là :
- Pas d'a priori négatif (quand je dis que je suis fonctionnaire se dessine immédiatement l'image d'un glandeur qui vit aux crochets de la société)
- Côté financier, c'est quand même autre chose. Je ne m'en plains pas du tout, pour l'instant ça suffit à apporter de quoi loger et nourrir le foyer, et je préfère de loin la santé mentale à un salaire supérieur ^^.

pour faire tl;dr, en ss2i t'es un esclave à qui on donne ce qu'il dit savoir mieux faire. Mais t'es juste un esclave bien traité. Et encore.

En français ?

t'es un bout de viande baladé de client en client. et pour te remercier on te file quelques cacahuètes tous les mois. et on t'offre un "suivi de carrière" (mouarf, mouarf)

Lionel Debroux (./4) :
et en général, pour faire des TD/TP à la fac, il faut être en thèse, ou l'avoir déjà finie.

Ça dépend où.
Je fais des TD/TP en école d'ingénieur alors que je ne suis qu'en première année de thèse (je viens juste de commencer en fait^^)

squalyl (./12) :
t'es un bout de viande baladé de client en client. et pour te remercier on te file quelques cacahuètes tous les mois. et on t'offre un "suivi de carrière" (mouarf, mouarf)

C'est exactement ça...

Kochise

./13: je n'ai peut-être pas été très clair ("être en thèse" = être en train de faire la thèse, que ce soit en première, deuxième, troisième année ou plus rarement au-delà), mais nous sommes d'accord

On m'a pas mal dit, en effet, que l'éducation nationale et le systène français sux, et que si je faisais prof/instit, mon plaisir d'enseigner serait vite miné.

Reste toujours la possibilité de le faire aux US par ex., mais là bas généralement il faut une qualification de type Bachelor's en éducation, que je n'ai pas. Après si j'ai un PhD je peux rentrer genre dans des écoles privées ou autre.

Je pense que je vais suivre ce plan pour le moment- faire mon PhD (si je me fais admettre, beeeh les prochaines semaines vont être stressantes :x), et voire après si je préfère rester dans le recherche + enseignement universitaire où si je veux tenter ma chance en tant que prof de maths dans un lycée par exemple.

Merci du feedback.

Tu pourras toujours faire prof quand tu seras lasse de ton boulot... essaie de faire d'abord le truc le plus "prestigieux" je dirai.

Candidate au max d'institutions aux US. Je voulais aller à CalTech mais je n'ai été pris qu'en Oregon Il faut rencontrer les professeurs en personne, des mails ils en reçoivent des dizaines. Et faut tout faire péter au GRE, et ça c'est pas facile. J'avais réussi à faire un quasi-perfect au test de compréhension, et je me suis vautré comme une merde en maths (où j'avais toujours 100% aux tests d'entraînement, le stress toussa ). Si t'es pas dans le top 10% c'est même pas la peine d'essayer. Un Bsc peut bien t'aider, c'est plus facile pour avoir un bon GPA. Donne ton maximum cette année car c'est super important qu'il soit bon.
Oublie qu'il ne suffit pas d'être admis, il faut aussi décrocher un financement (TA, RA...). A moins que tu sois blindé de fric.

melbou (./18) :
GRE

melbou (./18) :
GPA

melbou (./18) :
TA, RA...

melbou (./18) :
Bsc

Rien à dire, tout s'éclaire !

http://www.google.fr/search?q=define:gre&hl=fr&defl=de&ei=BAffSr_TAsiZjAfkuvCkBg&sa=X&oi=definel&ct=&cd=1&ved=0CAkQpQMoAA&defl=en&ei=BAffSr_TAsiZjAfkuvCkBg&oi=definel&ct=&cd=2

http://www.google.fr/search?q=define:gpa&hl=fr&defl=de&ei=FAffSsDrEtugjAehzqylBg&sa=X&oi=definel&ct=&cd=1&ved=0CAQQpQMoAA&defl=en&ei=FAffSsDrEtugjAehzqylBg&oi=definel&ct=&cd=2

http://www.google.fr/search?q=define:ta&hl=fr&defl=de&ei=JwffSsWjFNmhjAfU-7mlBg&sa=X&oi=definel&ct=&cd=1&ved=0CA0QpQMoAA&defl=en&ei=JwffSsWjFNmhjAfU-7mlBg&oi=definel&ct=&cd=2

http://www.google.fr/search?q=define:ra&hl=fr&defl=de&ei=QwffSunMMN-fjAfUoN2kBg&sa=X&oi=definel&ct=&cd=1&ved=0CA0QpQMoAA&defl=en&ei=QwffSunMMN-fjAfUoN2kBg&oi=definel&ct=&cd=2

http://www.google.fr/search?q=define:bsc&hl=fr&defl=de&ei=UAffSsnrLsyrjAfHvoVl&sa=X&oi=definel&ct=&cd=1&ved=0CAcQpQMoAA&defl=en&ei=UAffSsnrLsyrjAfHvoVl&oi=definel&ct=&cd=2

Pis lui comprendra ce que je dis (ou sinon il est mal barré).

Oui, il vaut mieux pour moi que je comprenne

Melbiu, tu avais quoi comme diplôme quand tu as candidaté?

Tu as candidaté à quelles institutions? Tu as eu combien au quantitative/verbal/AW au GRE?

Tu as rencontré tous les profs auparavant? Tu t'es déplacé dans chaque université?

Et pour le GPA ça me fait un peu stresser justement, j'avais dans les 12 de moyenne à mon DUT ce qui me met dans le premier tiers/quart de la promo (avec des gros pics sur quelques projets où j'ai eu 16-18), le premier ayant dans les 14-15, mais j'ai un peu peur de comment ils vont interpréter ça en GPA, parce qu'une pure conversion numérique en considérant que c'est noté sur 20 ne joue pas en ma faveur évidemment...

Aussi, mes résultats de cette année sont bien partis, le truc c'est que je vais commencer à envoyer mes candidatures pour la mi décembre donc certaines universités n'auront même pas mon premier semestre...

Enfin si tu pouvais me dire tout en détails de ce que t'as fait ça m'arrangerait

(Et oui j'espère bien obtenir un stipend + TA, je n'ai pas spécialement envie de vendre un poumon)

J'ai lu que pour les GPA il fallait qu'on ajoute car ca note pas pareil aux US. (genre 12 ca te fait 2.4/4 et je crois qu'ils prennent pas a moins de 3... )

http://forums.remede.org/questions_generales/sujet_10203.html Si vous avez mieux je suis preneur car je dois aussi traduire mes moyennes en GPA (Je me suis pas emmerde j'ai fait ce qu'ils disent ca me fait 3.8 pour 16 de moyenne et ca fait meme pas un A je crois donc bon...

Oui c'est clair et net qu'on ne peut pas diviser la note sur 20 par 5 pour avoir le GPA, parce que aux US les élèves avec un 4.0 existent, alors qu'en France les élèves avec 20 de moyenne...bah voilà quoi

Ouais puis c'est tout qui est plus eleve quoi

(Au début je ne comprenais pas sans les accents )

sinon dans l'info ya pas que les SSII hein, on peut aussi bosser pour une boite qui n'externalise pas son SI ou qui developpe ses projets en interne et pas en clientele

Il n'y a en effet pas que les SSII... mais quand je suis sorti de la fac, il y a deux ans, deux tiers des diplômés commençaient dans une forme ou une autre de SSII ^^

j'ai fait un an dans une èsèsdeuzi aussi, et c'était bof.