9> Il abuse d'une rhétorique obscure pour justifier le naturel du penchant qu'il éprouve pour les chameaux, le gout qu'il prend à tripoter des chamelons, le frémissement qu'il éprouve à la vue de bosses si robustes, sous couvert d'une politique d'ouverture multiraciale (qui oserait s'en prendre à une politique d'ouverture se ferait immédiatement taxer de fasciste réactionnaire, car l'on a tot fait d'associer l'ouverture politique à celle de l'esprit (*)). Puis mets en oeuvre une sorte de fondue-enchainée (l'Animal,l'Homme,la Morale, la Culture, la Levrette) visant à attester du caractère inattendue de la chute de la blague initiale en s'appuyant sur des valeurs depuis longtemps consacré (notemment la Levrette) , ponctuant le tout de calembours douteux.

(*) sauf les esprits retors qui associeraient plutôt l'ouverture à une béance anale, mais "l'anus étant le fondement de l'être" on en revient à une certaine forme d'esprit