Le principal, Pierre Pompier, l'admet : cela n'a pas été facile à mettre en place. "Cela demande un gros travail de suivi, c'est énorme, explique-t-il. Les enseignants sont font face à l'écran de 8 heures du matin jusqu'à 22 heures parce que les élèves sont dessus aussi tardivement..."