MeowcateLe 12/09/2018 à 15:08
C'est problématique en effet. On croit plus facilement au consentement du garçon (la nouvelle loi n'étant bien sûr pas rétroactive) que, les sexes inversés, les juges auraient pu croire qu'une jeune fille avait trop peur, ou trop perturbée, pour avoir un consentement éclairé.
Mais il faut dire ce qui est : les ados masculins sont des boules d'hormones, leur consentement est plus facile à supposer. Les potes du garçon pourraient se dire "oh la chance !", tandis qu'à l'inverse les potes d'une jeune fille se diraient "oh la pauvre !"...
EDIT : je suis remonté un peu pour en savoir plus, la femme avait 24-25 ans, pour mettre en perspective.