52Fermer54
NilLe 15/01/2010 à 15:33
very (./51) :
montreuillois (./42) :
Et oui, mais tu t'adresse à quelqu'un d'autre là ? Ou tu fais une sorte de prise à pertie condescendante ?

Oh ne t'inquite pas je fais ça avec tout le monde, ce n'est pas méchant mod.gif

Faut pas s'inquiéter, Monteuillois, very nous fait souvent une crise à ce sujet (d'aucun diraient que c'est à cause de traumatismes subis pendant l'enfance, et une opposition farouche à l'autorité, qui le conduisent à refuser l'orthographe française cheeky).
very (./51) :
(la tautologie citoyeneté == participation politique est pourtant une évidence pour tous ceux qui ont un peu de bon sens ou de culture politique. Le fait même que les gens n'aient plus ça en tête montre bien la déliquenscence de la politique )

Je crois qu'en fait, tu n'as pas compris le fond du problème... dans un certain idéal (qui n'est pas forcément le mien, hein, je développe juste une idée que tu sembles avoir omise), la France devrait pouvoir permettre facilement, simplement et sans contraintes forte (dans les contraintes primaires, on peut intégrer le fait de ne pas avoir commis de crime, mais pas les délits, par exemple) aux plus étrangers d'entre nous (êtres humains) vivant en France d'adopter la nationalité Française. Non pas de façon automatique, mais sur le désir d'embrasser la nationalité française, avec droits, devoirs, contraintes et obligations (et dans les possibilités de nationalités multiples autorisées au niveau international). De ce fait, pourraient alors voter tous les citoyens qui auraient désiré.
Cette situation n'est pas possible [à l'heure actuelle]. De fait, il faut trouver un subterfuge légal pour pallier ce problème. On ne veut pas accepter des étrangers dans notre "famille" ? Laissons-les donc comme des étrangers, mais donnons-leurs des droits similaires aux membres de la famille.
C'est (à mon sens) une réplique du PACS pour les homosexuels. Plutôt qu'accepter la différence, on crée une exception légale.