Nil (./9285) :
Ou alors il a eu droit au plus prosaïque "ça ne peut pas marcher entre nous, je te perçois plus comme un père que comme un amoureux" ?
A peu près, oué. Et on n'était pas à deux ans mais à trois et demi

Bon, enfin Freud était surtout une excuse au regard du "j'étais pas ton dernier espoir ? - non, il y en a un autre" matérialisé en la présence d'un dévolu jeté sur le mélange habile de Tintin,
Kurt et de l'Empereur Palpatine jeune dont les occupations se résument à bosser, ne pas aimer les turcs et regarder Grey's Anatomy. CA VALAIT BIEN LE COUP DE PRENDRE DES COURS DE PIANO, TIENS. S'en suivit la traditionnelle valse "non mais je tiens toujours à toi, mais je me rends compte maintenant que c'est pas d'une façon suffisante pour être en couple". Intéressant. "Je voudrais qu'il y ait encore une forme de 'nous', même si on n'est plus en couple" façon de dire "oui, j'aurai d'autres histoires, mais j'aimerais bien que tu restes regarder". Sachant que cette histoire d'autre mec est intervenue trois semaines après la rupture originelle qui puisait son excuses dans "mes sentiments ont décliné", ce que j'avais déjà digéré avant qu'elle ne me repasse la deuxième couche "en fait, rétrospectivement, je ne nous ai jamais vraiment vu comme un couple", avec ce petit brin de nuance qui a un arrière-goût de fatality. Du coup, je trompe mon désespoir en écoutant de la musique trop fort et en me couchant à trois heures du matin alors que je suis en stage. Ouais. Je suis complètement rebelle.