NilLe 06/09/2012 à 10:15
Je suis très content de vivre à mon époque, parce que je réalise qu'il va probablement y avoir un très gros différentiel entre ce qui m'a été enseigné en sciences au lycée et ce qu'apprendront les lycéens dans 50 ans, ce qui est un signe parmi d'autres de l'évolution profonde qui s'opère dans notre perception de l'univers (génétique, physique quantique, applications directes...).
Si les lycéens de demain doivent faire de l'algèbre booléenne avec des qbits comme on a pu en faire avec des bits, ça signifiera une mutation fondamentale dans les champs d'application des sciences.
(Ce qu'on en fera est autre chose)