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HippopotameLe 06/04/2012 à 13:17
À ces deux critiques fort justes (la propriété des médias et la précarité du journaliste), de nature économique j'en ajouterais une troisième, davantage culturelle (ou mémétique) : il y a une imbécillité socialement induite. Quand on appartient à certains milieux on est programmé pour adhérer à certaines opinions, aussi débiles soient-elles. Ça ne concerne pas que le journalisme d'ailleurs, mais c'est très visible dans cette profession.