Folco (./13966) :
N'empêche que :
1. l'utilisateur est pas censé aller voir le PCB, ni même en juger, à part forcément les trois mecs sur la planète que ça fera bander
2. la beauté du routage, c'est quand même quelque chose qui contient une bonne part de subjectivité
2. c'est sacrément méprisant pour les goûts et la compétence de ses équipes. J'imagine facilement que ça devait être très pénible de vivre avec un mec comme ça sur le dos

1 - Il y en a, et pas seulement 3 mec sur la planète. Et tu déteste ton boulot à ce point que tu n'aime pas que les choses soit bien faites même si jamais vu par personne?

2 - C'est comme n'importe quel art, il va y en avoir certain pour aimer d'autre non..

3 - C'est très méprisant ce que tu dit. Personne n'a dit qu'il était facile a vivre c'est certain, mais il a aussi su mener l’équipe a aboutir un projet qui somme toute était loin d’être simple, et la version rendu est loin d’être mauvaise. Toi qui aime le 68k tu devrait te documenter un peu sur ce qu'ils ont fait.
Je pense qu'on peux aisément considérer le premier Macintosh comme une œuvre d'art sur un peu tous les niveaux, hardware comme software.
Tu sais, sans un minimum de pression sur les équipes, et de gestion, on sais ce que ça donne: l'Apple d'aujourd'hui et celui des années 1990, complètement a l'ouest, et on retrouve ca dans pas mal d'entreprises.

Jobs n’était probablement pas facile a vivre c'est certain, mais le traiter de connard comme certain le font sans l'avoir jamais connu va un peu trop loin. Lis un peu l'histoire de la genèse du mac, tu verra qu'il écoutais bien plus ses équipes que ce qu'on ne le dit. Il avait ses idées, et pas forcement tord sur un grand nombre, mais quand il avait tord, il le reconnaissait d'une manière ou d'une autre.

Si il n'avais pas eu ses idées et surtout su écouter ses équipes (et les protéger au besoin), Apple ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui en dehors des errements actuels, et le Mac serait encore moins la.