Folco (./739) :
Ah oui, tiens, j'avais pas fait gaffe. Faudrait que je relise le prince.
Faut vérifier, parce qu'il n'avait pas les mêmes contextes, mais il dit bien que le Prince doit savoir invoquer la Virtu (en fait la baraka et l'art d'embobiner) pour se maintenir au pouvoir. Il me semble qu'il dit aussi que le Prince doit mettre des personnes publiques influentes de son côté.
À partir de là il est facile de voir venir les acoquinades corporatistes et les petits arrangements avec les fonds publics du système actuel.
On peut aussi discourir sur les problèmes inhérents et organiques (pour ne pas dire architectoniques) d'un système partagé entre politiciens professionnels et lobbyisme, sans parler des soucis inhérents au corporatisme et à la tenue en coupe réglée du pouvoir par une élite principalement normalisée et produite à la chaîne.