robinHood (./175) :
./170 la provoc est une composante essentielle de l'humour ...
Ce que t'as pas l'air de percuter, c'est que toutes les quotes sur les saillies sur les
juifs sionistes que j'ai mises, il les a prononcées HORS spectacle. C'est-à-dire en prenant une posture plus sérieuse. Et ce sont ces interviews qui définissent le personnage ; là où un Desproges faisait des sketches d'un cynisme absolu quand il parlait de Goebbels allant trucider gaiement des juifs par exemple (*), quand il s'exprimait hors spectacle, on n'avait aucun doute sur ses intentions réelles qui étaient diamétralement opposées à ce qu'il donnait en spectacle.
(*) Ce qui est factuellement faux, on parle plutôt d'une application méthodique et industrielle, sans passion, de la solution finale.
Dans le cas de Dieudonné, le personnage public et le personnage de scène ont une méchante tendance à se rapprocher depuis « J'ai fait l'con ».
robinHood (./175) :
pour le betar c'est eux qui sont rentré à 150 dans le théâtre ou jouais dd à lyon ...
il l'explique clairement ici : http://www.youtube.com/watch?v=kM-EabXokpI#t=340
Les exactions de Betar n'excusent pas la connerie de Dieudonné (et vice versa).