Nil (./249) :
Tiens, je reprendrai bien contact avec mes potes juifs de Lyon pour aller dans un bouchon et dire "lui, il prendra une quenelle, mais c'est parce qu'il est juif" !
(La quenelle lyonnaise étant le plus souvent au brochet, donc pas de souci de kashrout).
Les miens sont décédés au vu de leurs grands ages. Ils ont survécu à Dachau (qui n'était pas un camps d'extermination) et m'ont parlé de mon grand père qui lui n'a pas survécu après son retour. Ils auraient trouvé stupides ces débats stériles, créés par des petits cons de la troisième génération qui se réclament de la shoah et qui braient quand un soit disant humoriste s'amuse du sectarisme des juifs (ils n'en n'ont pas le monopole d'ailleurs). Je pense que s'ils étaient encore en vie, ils traiteraient ça avec une telle dérision, qu'en cas de délation par la collaboration, Vals les aurait assigné en justice.
Bref ! Triste époque...