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NilLe 20/06/2017 à 17:13
Zerosquare (./2453) :

Si tu vas par là, tu pourrais aussi dire qu'il ne faut pas condamner le harcèlement scolaire si la victime ne se plaint pas (c'est vrai, peut-être que le gamin aime être le souffre-douleur, après tout ?), pareil pour les violences conjugales (si une femme est persuadée que son mari la frappe parce qu'il l'aime, qui est-on pour leur dire que ce n'est pas bien ?)
Euh non, ne pas en parler est différent d'être ou non consentant. Au contraire même : ne rien dire dans ces situations est une indice sérieux de non consentement ; le consentement doit être explicite et éclairé, le "qui ne dit mot consent" est en général la meilleure excuse des abuseurs.