@_YN, squalyl, Godzil : mea cupla, mais Brunni à mis le doigt dans sur ce que je voulais dire. Tu peux être moche mais bien dans ta peau, et ne faire chier personne sans avoir à souffrir "en silence". Pourquoi une souffrance personnelle devrait devenir un problème de société jusqu'à venir pourrir la linguistique, sans que ça ne change rien dans le fond du problème ? Même si l'écriture inclusive était adoptée, le sort et le traitement des femmes ne changerai pas nécessairement de façon positive. Au contraire, nous aurions alors un rappel écrit permanent de à quel point elles peuvent faire chier pour juste avoir l'impression d'être considérées. Comme je le disais, les gallons, ça se mérite. Par exemple dans le cinéma, prenez Josiane Balasko, Coline Serreau, ou Marianne Sägebrecht, ce n'est pas des canons de beauté, mais elles surpassent les clichés par leurs interprétations et leur travail. Ce sont des femmes qui n'ont pas besoins d'avoir à le revendiquer pour faire leur place légitimement et légalement dans la société.