very (./536) :
C'est un peu comme avec les viols, où 3 fois sur 4 c'est affabulé (et parfois elles y croient elles-mêmes). En plus avec toute la propagande débilo-féministe actuelle, et toute la mode de la victimisation*, ce ne m'étonne vraiment pas :/

Oh putain. Oh... putain...

Bon, vite vite, on va ajouter very à sa liste d'ignores et parler d'autres choses... on respire, on souffle...

Brunni (./535) :
Tu peux réagir comme ça, mais tu devrais sérieusement considérer le message que tu renvoies car c'est tout ce que ça évoque désolé. Si c'est arrivé quatre fois depuis que vous vous connaissez, alors ton témoignage n'est pas du tout en phase, et on pourrait y déceler une pointe de présomption. Si *vraiment* ça arrive tout le temps (ce qui n'est pas possible, à moins que tu vives dans un ghetto new yorkais ou qu'il y ait écrit "spank me" sur son jupon, d'où ma question), alors tu peux comprendre que tes interlocuteurs ne te suivent pas, parce que ce n'est pas la réalité pour la majorité d'entre nous, et même si ça l'était on n'est certainement pas concernés puisqu'on ne fait pas partie de ces relous et n'en connaît pas (donc c'est hors de notre sphère d'influence, de notre réalité).

Je ne sais pas, le message que tu renvoies là à mes yeux est que pour un comportement plus ou moins intolérable (qui peut aller d'insister lourdement en suivant une fille à ce qu'on la ramène chez elle, jusqu'à la plaquer contre un mur et mettre une main dans le soutif), tu précises qu'il y aurait comme une limite de fréquences de ces événements qui serait la séparation entre l'acceptable et l'inacceptable.

Si cela arrive surtout à la sortie des bars, c'est peu en raison de l'alcool. L'alcool désinhibe, il pousse les gens à se conduire comme ils n'osent pas le faire, ça peut aussi bien être la violence que d'avoir envie de pleurer, ou de faire connerie sur connerie à se taper la honte le lendemain quand les photos sont sur Facebook. Ce qui provoque surtout ces événements (et qui fait que les agresseurs sont loin d'être majoritairement bourrés) c'est un environnement d'impunité plus ou moins marqué. Comme on l'a vu, ça peut être dans un transport bondé, où il est difficile de se faire remarquer et que les victimes tout comme les témoins réagissent peu (beaucoup moins envisageable à la terrasse d'un café par exemple). C'est surtout, rapport au bar et boîte, à l'idée qu'il fasse nuit, il n'y a personne. Et point bonus si la fille de son côté est bourrée et peu défendue.
C'est un aspect de "l'occasion fait le larron". Le premier venu n'est pas un harceleur, pas un agresseur, mais des circonstances font, et cela peut arriver quelque soit la ville où tu vis, que dans un environnement propice tes chances qu'un de ces spécimens passe à l'acte sont beaucoup plus élevées.
En tant que mec, c'est sûr que je n'ai jamais eu de problème à sortir le soir seul, tout comme en revenir, même en pleine nuit, mal éclairée. Si la plupart (je n'oserai pas dire "majorité", je n'ai pas de chiffres sous la main) des femmes ne se sentent pas en sécurité dans ces environnements, ce n'est pas parce qu'elles ont conservé la peur du monstre du placard une fois atteint l'âge adulte.

Pen^2 (./547) :
(et la limite pour une homme, c'est quoi ? Non, parce que j'ai l'impression que les femmes sont infiniment plus libres sur la manière de s'habiller que les hommes...)

C'est toi qui le dit. La mode est simplement plus diversifiée pour les femmes, et plus concentrées sur leurs formes, leur peau.
Si tu veux un équivalent masculin, pense au marcel (libre jusqu'aux épaules), au débardeur pour homme (le modèle bodybuilder, celui qui va "bien" (hem) pour un homme à ne couvrir la poitrine que les mamelons, et qu'une femme porterait cela ce serait scandaleux), la mode (ahahahahahah) du pantalon ultra-baissé pour bien montrer la marque de son boxer jusqu'au bas de la raie des fesses qui donne une allure de manchot, l'idée qu'un homme pourra toujours se retrouver torse nu à certaines occasions (salle de sport, bricolage dans le jardin) que l'équivalent pour une femme (en dehors des plages, et encore) serait de l’exhibitionnisme.
Je pense en fait que les hommes sont bien plus libres que les femmes là dessus, simplement que la mode n'a jamais cherché à exploiter cela (ex : une jambe nue de femme, on trouve cela sexy. Une jambe nue d'homme, à moins d'être musclée et/ou rasée de près, on trouve cela sans intérêt).

(Note : c'est un avis sur ce sujet précis, pas à ajouter en arguments à mes messages précédents... à cas où)