Certes, aucun des belligérants n'est franchement sympathique, mais si on ne parlait qu'à des gentils, on ne parlerait pas à grand-monde (à part les rares pays assez petits pour n'avoir aucun intérêt et qui ne sont pas des paradis fiscaux… je ne sais pas s'il en reste un seul, en fait).
Il faut quand même déterminer une politique claire :
- soit on ne fait rien (mais manifestement, ce n'est pas possible
), - soit on participe à couler Assad (ce qui revient à faciliter la vie des islamistes qui ne demandent qu'à nous massacrer),
- soit on participe à stabiliser Assad, en partant du principe qu'au moins il ne nous attaquera pas en retour.
Manifestement, on préfère couler Assad, quitte à aider les islamistes qui nous ont attaqué.