vince (./539) :
(quand ils parlent d'agressions physiques, de prostitution et de viols, ça correspond à des crimes il me semble en droit français)
La criminalisation de la prostitution est un débat en soi, et dans le cas ci-présent, la prostitution est due à la misère. Quant au cas de l'aggression sexuelle (le "témoin" n'en décrit en réalité qu'une seule, et il n'a d'ailleurs probablement pas été témoin de la scène), c'est un cas isolé qu'on retrouve aussi dans la population locale, probablement dans la même proportion. (Et le terme qui a été employé est "aggression sexuelle", terme à définition plus large que le terme "viol". Vu la réaction de la justice, je suppose que ce n'était pas un vrai viol.) Il y a toujours des criminels, on ne peut pas généraliser ça à tous les réfugiés.
Et sinon, "réfugié" c'est valable quand on est un réfugié. Quand on est là en situation irrégulière pour des raisons économiques, quand on se débarasse de ses papiers d'origine pour ne pas être expulsable alors on devient clandestin, c'est la définition...
Et la preuve que ces réfugiés ne sont pas de vrais réfugiés, elle est où? Quand on voit les pays d'origine mentionnés (Soudan, Afghanistan, …), ce sont des pays où il y a des conflits armés toujours en cours. Les Talibans n'ont pas disparu avec l'invasion américaine contrairement à la propagande des USA.