Folco (./727) :
Alors si tu savais ce que je pense de ces prétendus représentants de l'Eglise Catholique, t'aurais posté tout sauf ça, désolé 
Alors, désolé, tu n'es pas catholique, mais chrétien fondamentaliste sectaire, arrête de t'appeler "catholique".
vince (./730) :
no border => no souveraineté étatique
Non sequitur. On peut être un état souverain et avoir les frontières ouvertes (donc c'est effectivement comme si elles n'existaient pas). C'est ce qui se passe pour les frontières internes de l'UE, par exemple.
no souveraineté étatique => no lois
Non sequitur. On peut avoir un état global. (Pour un exemple local, cf. les USA ou jadis l'URSS.)
no lois => no limit
Non sequitur. On peut aussi avoir une justice sans lois codifiées, au cas par cas. Elle n'est pas forcément équitable, mais c'est possible. L'intérêt des lois n'est que d'essayer (ça ne fonctionne pas toujours) de standardiser les décisions, pour que la justice soit plus juste aux yeux des personnes.
flanker (./731) :
même sans passer par l'étape pas de lois (qui est pourtant une conséquence directe de l'absence de frontière, mais j'ai l'impression que c'est un peu trop compliqué comme raisonnement),
C'est surtout faux comme raisonnement (cf. ma réponse à vince ci-dessus).
si on refuse toute frontière, on refuse chaque niveau de frontière : on peut rentrer chez n'importe qui, ou dans n'importe qui…
Et ça, c'est un argument homme de paille et limite de la calomnie. Le concept de "no border" fait référence exclusivement aux frontières entre états (ce n'est pas pour rien qu'on dit "no border, no nation") et non pas à toute limite qu'on peut vaguement appeler "frontière". Les mouvements no border sont absolument contre toute forme de viol.