Folco (./78) :
A t'écouter, il y a ta vision des choses, et toute autre est raciste/xénophobe. Rien qu'en constatant ça, tu crois pas que ta position cloche ?
Non. Je ne fais que pointer les mots que vous utilisez : de l'invasion de Flanker à la théorie du grand remplacement que tu évoques à demi-mot, en passant par la réaction de comptoir de pal0uf. Difficile de ne pas voir autrement qu'une vision anti-immigration de la société française. Vous essayez de présenter les choses de façon à ce qu'on ne puisse pas vous taxer de xénophobie, mais ça ne marche pas vraiment. Ce n'est pas ce que vous pensez réellement ? Alors utilisez d'autres mots moins radicaux. Je ne fais que constater que sur la base de vos posts. Que vous montez sur vos grands chevaux parce que je vous ai presque assimilé à des nazis violeurs de bébés, je m'en fous, ce n'est pas moi qui ai un problème avec les mots.
À vrai dire, je m'en fous de l'immigration en tant que problème pour la France, parce que je considère que ce n'est pas un problème.
Folco (./40) :
L'ouverture n'est pas une obligation, juste un droit. Le repli est un droit, pas (focrément) une haine.
Si tu pouvais nous poser ton principe, histoire de voir de quoi tu pars pour affirmer ton opinion, et de là nous traiter de tous les noms, j'en serais enchanté. Et s'il te plait, pas d'entourloupe, essaye de vraiment répondre à ce que je dis, merci. 
Le principe, c'est que pour moi, le repli, c'est refuser d'accueillir qui que ce soit, indépendamment de ses capacités physiques/intellectuelles/whatever, et se priver d'une chance potentielle pour tirer l'économie/la culture/la renommée de la France vers le haut. Avec ta définition, pas de Balladur, pas de Sarkozy, pas de Mendès-France, pas de Roxana Maracineanu, pas de Manuel Valls, pas de Jean-Vincent Placé.
(ça c'est pour montreuillois, parce qu'apparemment, le concept de "traité international" est un dogme infaillible sur lequel on en réfléchit même pas : prononcer son nom est à la fois un argument et une preuve indiscutable.
Les traités internationaux sont le résultat d'un consensus entre plusieurs pays. Les remettre en cause unilatéralement, ça équivaut à faire de gros doigts à ses partenaires diplomatiques, ruinant ainsi les relations inter-étatiques et sa crédibilité sur la scène internationale.