Kevin Kofler (./36) :Sauf qu'on se place justement dans un système qui se veut le plus indépendant possible de la localisation. Une journée solaire a tendance à changer avec le temps (la journée solaire d'il y a 1 million d'années n'a pas la même durée que l'actuelle) et, surtout, n'a plus aucun sens pour une équipe qui serait située sur Mars.
Une seconde doit redevenir une approximation optimale de 1/86400 journées solaires. À bas la seconde nucléaire!