./766> Ces conséquences économiques sont le résultat d'un travail acharné de nier que ce genre de choses pourrait arriver et de mettre les États à la remorque de l'économie.
Autrement on pourrait avoir un gouvernement qui prendrait le relais pour amortir les conséquences économiques et éviter un retour à la routine aussi violent que celui qui se profile.
Or on peut craindre un retour des fausses bonnes idées de 2008, autrement dit une relance massive mais immédiatement suivie de tours de vis partout, ce qui contribue au grippage puisque l'argent est alors stocké au lieu d'être mis en circulation (ce que Keynes appelait la trappe à liquidités, qui est un mécanisme aggravateur de crise).