« Je voudrais qu’il y ait une révolte, des manifestations de journalistes, qu’on aille devant le siège du Conseil constitutionnel ».
« [Je voudrais] que deux ou trois confrères courageux fassent la grève de la faim ». [...] Et de préciser aussitôt : « Pas moi, hein… Mais je voudrais tout ça ».
[À] Christine Kelly, du Conseil supérieur de l’audiovisuel [...] : « Je pense que je vais violer la loi pendant un mois ».