Folco (./39335) :
C'est une manie aujourd'hui : il suffit de prendre tous les "*phobe" pour savoir ce qui est politiquement correct, et pour savoir dans quel sens on veut forcer nos conscience, au mépris le plus total de la liberté de pensée.
Et au passage, on continue un amalgame tellement éculé que je me demande comment il marche encore : "ne pas aimer qqchose, c'est haïr la personne qui en est l'objet". Non mon brave, ne pas aimer la gourmandise, ce n'est pas haïr le gamin à côté de moi qui se baffre de carambars. Faut croire que c'est tellement évident que ça crève les yeux.
Il marche parce qu'il faut le hurler, ça permet d'appeler au pathos.
Ensuite on fait comme pour l'entretien de la paranoïa sécuritaire, on prend des faits divers qu'on monte en épingle.
C'est plus que du politiquement correct c'est de la novlangue, et à ce niveau la lâcheté politique n'existe plus, on est dans la destruction active et volontaire du langage dans un but évident d'abrutissement et de contrôle de la population, c'est
infiniment plus efficace que la coercition en jouant comme ça.