En l'état actuel des investigations, tout porte à croire que l'on est face « à la dérive personnelle d'un individu en souffrance professionnelle et personnelle, qui s'est accrue à mesure que sa pratique religieuse se faisait plus intense ».Oué, une sorte de déséquilibré, quoi. Qui s'était réjouit de l'attentat de C. Hebdo et qui ne saluait plus ses collègues féminines.