Ca fait maintenant bientôt 800 heures (seulement ?
) que j'ai arrêté, je suis en phase de transition :- J'étais à 1 patch de 14mg pendant 1 mois
- Je suis dans cette transition de 1 semaine où je coupe un tiers du patch de 14mg
- Je passe ensuite pendant un mois aux patchs 7mg
- Arrêt total de nicotine (du moins active)
Par contre y'a un souci (et si vous avez traversé la même chose...), hier, il faisait bon... je rangeais ma maison en écoutant un bon Miles Davis, tout allait pour le mieux, la cour était ensoleillée devant chez moi et mon voisin venait de déjeûner au soleil dans cette même cour, ça sentait encore bon la salade bien vinaigrée, le pinard et le fromage (j'ai même un drapeau français chez moi
).Je trouvais toute cette situation très agréable, le printemps, les p'tits oiseaux, le chocolat... un bon café, mes p'tits papiers à trier en écoutant la zik'.
Mais évidemment... c'est quand tout tourne à la perfection, qu'il faut que ça chie... mais alors BIEN.
J'appellerai ça la théorie du "bâton dans la roue".
Plus la roue est grosse et bien gonflée, plus le bois est grand, massif et résistant quand il passe entre les rayons du soleil et de la joie.
Cette grosse salope de voisine était - pendant que son chérubin passait l'éponge sur la "table improvisée" - les deux pieds posés sur une chaise, le soleil dans les cheveux, avec une boisson fraîche dans la main gauche et une clope chaude coincée entre deux doigts au bout d'une main nonchalamment pendante vers le bas.
Ce petit filet de fumée glissant... que dis-je, frôlant la peau satinée et chauffée de cette grognasse !
Elle était l'incarnation même du doux pêcher, de la tentation exquise... de la perdition guillerette.
Je préfère ces autres... ces immondes connards, au teint grisâtre, qui te crachent leur fumée à la gueule à l'arrêt du BUS entre deux quintes de toux !
MERDE !
(j'en suis à mon 14ème chewing-gum c'matin)