Flanker (./1287) :
Sasume (./1284) :
./1282 OK, c'est vrai qu'on n'est pas à la chasse du moindre Go, même sur un "vieux" disque dur de 60 Go...
Cependant, je continue de trouver cette façon de faire assez mauvaise : comment cela se passe-t-il quand des applications doivent interopérer entre elles ?
Aucune idée
mais ça marche nickel 
Il existe un framework specialisé pour le dialogue entre application. D'ailleurs Linux le propose aussi (meme si apple en propose un autre hérité des Mac OS 'classiques' qui est plutot bien foutu : les Apple Events) qui sont posix, qu'on appel les Mailbox, Mutex, semaphore, Tubes, Socket UNIX & co, bref, tout ce qui est fait pour faire dialoguer deux process (ou plus) ensemble
Et pour ce qui est de l'association "automatique" entre fichier et application, c'est simple, (enfin c'était mieux foutut avant©) chaque application possede une liste des extentions (et valeurs du champ TYPE pour les fichier sur un FileSystem HFS* hérité des Mac OS 'classique') que le Finder va scanner.
Pourquoi mieux foutut avant ? parcequ'il n'y avais qu'un seul systeme, celui du TYPE/CREATOR qui est partie intégrante du FileSystem, que l'extention de fichier n'avais pas du tout cours et que chaque application avait un creator déterminé et fixe (par exemple HyperCard avait le CREATOR "WILD") et chaque type de fichier avait son propre TYPE ("JPEG" pour les fichier jpeg, STCK poru les piles HyperCard, TEXT pour les fichiers texte, etc... Et chaque application pour leur document enregistré mettait leur creator dans le champs idoine, ce qui faisait qu'un double clic sur le fichier ouvrait par défaut l'application avec lequel le ficheir avait été crée, mais n'empechais pas une autre application qui supportait ce format de fichier de l'ouvrir). Le finder possedait une liste caché dans un fichier caché a la racine du disque dans les logiciels systeme >= a la version 7.0 nommé 'Desktop DB' et 'Desktop DF' qui contenais la liste complete des application ayant été lancé un jour sur la machine avec leur liste de type supporté et meme les icones associé ! et ce meme si l'application etait non présente sur la machine (et le truc etait meme poussé a savoir quelle application il fallait pour ouvrir le fichier, si le TYPE/CREATOR etait dans la base, donc si l'application avait été supprimé (ou se trouvait dans un disque reseau) on avait souvent droit a un "Ou ce trouve l'application 'machin'" ou un sympa "L'application 'machin' n'est pas trouvé pour ouvrir le fichier 'bidule'"
Bref, Linux, Mac OS X, ou meme Windows n'en sont pas capable 