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iwannabeasushiLe 05/10/2009 à 19:14
Sally (./247) :
Ah bon ? et tu as des exemples récents où ça s'est fait ? (« écouter ce que les autres ont à dire et ne pas en tenir compte » ne compte pas comme une concertation, je précise au cas où)


Le livre blanc de la défense, dans le cadre de la loi de programmation militaire, le plan contre la grippe, le débat sur l'avenir de l'école, ... Pour avoir un peu tourné dans les ministères, je peux te dire qu'il est systématique de demander l'avis des intéressés, afin d'essayer de parvenir à un résultat satisfaisant pour un maximum de personnes. Bien sur il y aura toujours des mécontents, mais non, nous ne sommes pas gouvernés par des autistes, indépendamment du bord politique d'ailleurs.
Bovido (./250) :
Et la souveraineté n'est pas transférable à des représentants, dixit Rousseau. Je ne peux que t'inviter à lire attentivement son Contrat social.

Et tu crois de plus que la souveraineté est indivisible ? Ah la la, que tu es bien naïf, mon petit.


Je te conseille de te renseigner en matière de souveraineté car je crais que tu ne viennes de dire une grosse bêtise, et ça tombe mal pour toi, c'est un sujet que je connais relativement bien : [google]souveraineté indivisible[/google].

>>La Souveraineté nationale implique l’existence d’un régime représentatif, c’est-à-dire d’un système politique dans lequel le pouvoir législatif est détenu par des assemblées parlementaires élues. Elle a, par ailleurs, des conséquences importantes sur l’organisation de ces assemblées : le pouvoir qu’elles exercent ne peut être délégué ou partagé (la Souveraineté est indivisible) ; le mandat des représentants doit être limité dans le temps (la Souveraineté est inaliénable) ; la nation ne peut déléguer l’exercice de la Souveraineté de manière définitive (la Souveraineté est imprescriptible).

En matière de philosophie politique je crains que tu n'ais pas le niveau pour cette conversation. Et qu'est ce que ce "tu es bien naïf mon petit" ? Un argument ? Au vu des opinions de comptoir que tu sors, je suis déjà lassé de te répondre.
Bovido (./250) :
Je n'ai critiqué que ces abus de langage — et Dieu sait que le langage n'est pas une vaine chose en politique — consistant à dire que la France a un régime démocratique alors qu'il n'est en réalité rien.


Alors fin du débat. Si tu es tellement convaincu de la raison de ta position à quoi bon s'evertuer à contre-argumenter intelligemment. Après tout il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre.