Sally (./45) :
Nil (./36) :
Sally (./11) :
oui enfin être énervé c'est un mauvais prétexte pour ne pas faire attention à sa force, je veux dire, ça m'arrivait quand j'étais petit (mais heureusement pour mon frère j'étais petit, justement
, enfin beaucoup moins que lui certes mais suffisamment pour ne pas le casser en deux
), mais un adulte est censé savoir contrôler ses gestes même en état d'énervement, ou alors il fait pas prof...
Je suis d'accord, on est tout "censés" savoir se contrôler. Cela dit, force est de constater plusieurs difficultés :
- on peut avoir des problèmes - médicaux, personnels ou professionnels - qui paralysent cette capacité
- l'Education Nationale ne met pas en Å“uvre de façon efficace un système de suivi des enseignants (écoute, suivi psychologique, etc.)
- l'Etat a une part de responsabilité là-dedans. En supprimant les postes d'aide, de soutien et d'encadrement, il y a une décharge d'une certaine pression sur les enseignants. Logiquement, cette pression est amenée à faire sauter une soupape de sécurité à un moment ou à un autre. Si tant est qu'il y ait une soupape qui existe.
Oui mais ce n'est pas le principe de la gifle qui est en cause... mais je pense que je vois ce que tu veux dire, il vaut mieux interdire complètement de lever la main que le tolérer dans la mesure du raisonnable, parce que ça donne une limite claire et précise alors que celle du raisonnable est floue
Je suis totalement d'accord avec toi. Cela dit, il appartient à la structure (en l'occurence l'EN via le rectorat) et à la justice d'appliquer la loi/la règle avec discernement. Et ça n'empêche pas les parents d'élèves de pouvoir se montrer raisonnables.