Ce que je veux dire c'est que le passage post-bac boulverse énormément mais pas la même chose. Le passage du bac m'a propulsé dans le monde de l'indépendance, mais du mouvement perpétuel (genre rien n'est fixe, que ce soit en amour, en travail, en vie...). Là j'ai l'impression que je m'approche du moment où tout se fixe, ça me fout un peu le blues
(mais rien qu'un peu, quoi, je passe encore ma vie à déconner ^^ Et je suis content)