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Kevin KoflerLe 08/08/2008 à 00:07
squale92 (./219) :
Et comparer à Fedora... heu... Sur TIGCC, il est tout seul ; sur Fedora, certainement pas ^^ rien que ça, ça joue...

Et surtout, moi j'accepte l'ancienneté des packagers qui ont travaillé sur KDE sous Fedora depuis plus longtemps que moi (Than Ngo et Rex Dieter), si je ne suis pas sûr pour une décision, je demande toujours l'avis à Than et/ou Rex.
Thibaut (./220) :
D'accord, mais là c'est tout fork (indépendant ou pas) qu'il refuse. Pour lui, "fork" est un mot péjoratif. Je ne vois pas pourquoi. C'est l'essence même du libre.

La possibilité de forker est une conséquence des libertés fournies, et elle peut être une garantie pour la survie du projet (par exemple si le projet d'origine est abandonné, voire rendu propriétaire si tout le code appartient à une seule personne ou entreprise). Mais si le projet d'origine est toujours actif, un fork représente un échec du système de développement communautaire (le fameux modèle de développement Open Source) (échec dû à des personnes qui n'ont pas pu se mettre d'accord pour travailler ensemble plutôt que l'une contre l'autre) et un gaspillage de ressources à dupliquer du travail (le fameux "syndrome NIH (Not Invented Here)").