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deletedLe 21/09/2013 à 06:28
Star Trek 2: c'est pas possible de faire un film aussi naze pour autant de fric. Ils pouvaient pas lâcher 100,00$ de plus pour payer un vrai scénariste?

Le Hobbit: Bof. J'ai l'impression de voir un autre épisode de LOTR, en plus niais. Pitié, tuez les tous ces putains de nains! Moi je voulais voir des nains fighter un dragon cracheur de feu. Là c'est un peu un road trip au pays des trolls façon partouze party en mode full sausage fest.

Elysium: Je voulais pas le voir, je hais Matt Damon, mais j'avais bien aimé District 9 alors j'ai tenté. Et puis c'est moi où le coup de l'utopie dans l'espace inaccessible au troufion de base rappelle le Neuromancien? En gros, c'est pas complètement nul, c'est même bien fait, mais c'est niais. Trop.

World War Z: Ça partait pas mal, j'ai même apprécié le jeu de Brad Pitt, et en gros jusqu'en Israël c'était divertissant. Après, gros WTF.

Louis Cyr: Ok sans plus. Un bon québécois dirait plutôt «Génial». On m'a expliqué pourquoi bien sûr, mais en gros si vous êtes pas intéressé par les pauvres québécois méprisés par ces salauds d'anglos, bah passez votre chemin.

Hannah Arendt: Très intéressant, j'ignorais beaucoup de choses sur ce sujet. Il faudrait que je revoye le film maintenant que j'ai un peu plus de background. Le défaut: Comment faire ressortir au cinéma une philosophe qui réfléchit? Ben avec un long plan de la dame en train de fumer sur son canapé pardi. Une fois, deux fois, trois fois... Au bout de la douzième, ça devient méga-relou.

This is the end: Bah là j'ai été bien surpris, ils sont vraiment allés loin dans leurs vannes, et je m'y attendais pas. Dommage qu'elles soient pas toujours drôles. La fin est un peu mouais bon. Backstreet boys? Trop meta!

Samsara: Vraiment chouette, maté avec un pote ayant fait un tour du monde en vélo, on a reconnu pas mal d'endroits donc ça donnait une dimension supplémentaire. Mais même sans y avoir été, on peut facilement en reconnaître beaucoup. Paresse du cinéaste dans le choix des sujets, ou volonté d'impliquer le spectateur? Musique top, cinématographie excellente.

2 vieux films de Tsui Hark, vus au TIFF: Dangerous Encounters of the First Kind, et Peking Opera Blues. Faut aimer et savoir à quoi s'attendre. Très content d'avoir pu les voir sur grand écran, un gars du festival est venu dans la salle expliquer comment ils ont réussi à retrouver des scènes censurées et le travail qu'ils ont fait pour restaurer les films en suivant les indications de Tsui Hark lui-même.

Téléchargés, pas pu passer la demi-heure, nuls: After Earth, IronMan3