68Fermer70
NilLe 05/04/2009 à 08:56
Kevin Kofler (./68) :
Nil (./12) :
D'ailleurs, quand ils sont passé sur x86, on aurait pu penser que ça allait signer la fin des Mac (pouf, tout le monde peut pirater MacOS et faire un hackintosh). En réalité, ça a plutôt eu l'effet inverse : les gens ont acheté encore plus de Mac parce qu'on pouvait y installer autre chose.
On a toujours pu installer autre chose que Mac OS sur un Mac, Fedora PPC marche très bien sur les Macs PPC.

Sauf l'OS utilisé par 87% des particuliers (et ça devait être un peu plus à l'époque).
Kevin Kofler (./68) :
2. abolition de tous les droits d'auteur sauf le droit d'attribution (bref, en gros l'effet devrait être comme si tout était sous GPL)

Bon, en fait, cette phrase m'a pas mal fait réfléchir ... J'y vois un problème, quand même. Quand on crée un algo, dans ma conception, c'est comme quand on met en place une découverte scientifique ou mathématique. Peut-être que j'ai tord, mais je fais quand même une petite différence avec une oeuvre artistique qui peut être engagée et/ou que l'on peut avoir envie de détruire (ça fait partie des droits fondamentaux de l'auteur-créateur) et une découverte scientifique qui décrit une réalité.
Comment faire pour pouvoir faire respecter ce droit de vie et de mort sur une oeuvre créée ? Inventer deux statuts légaux dans la vie d'une oeuvre (comme c'est déjà le cas, lorsque ça tombe dans le domaine public, mais en changeant les modalités de changement) ? Ou regarder si le droit de retrait est vraiment utilisé et décider de l'abroger ?


Tiens, sinon je ne savais pas que
Le copyleft s'applique uniquement au programme et non à ses sorties, par exemple un portail Web utilisant une version modifiée privée d'un CMS sous GPL ne sera pas obligé de livrer ses sources. Cette situation est corrigée par l’Affero General Public License, une version de la GPL 3 qui ajoute un paragraphe pour accorder aux utilisateurs d’un programme accédé par un réseau les mêmes droits que les utilisateurs d’un programme installé localement.