Folco (./485) :
Qui plus est, ta réthorique est fausse, mettre de l'ardeur à défendre quelque chose n'implique en rien une exclusivité quelconque. Ca peut être le cas, mais ce n'est pas nécessaire.
Dans ce cas, explique-moi donc comment défendre une discipline tout en récusant la validité d’un de ses principes
fondamentaux sans lequel la discipline en question se casse totalement la gueule… (dire que l’allopathie peut marcher, c’est récuser le principe de similitude)
Vraiment, je ne vois pas.
Un peu de very pour la route

: l’homéopathie, c’est le communisme appliqué à la médecine, avec application stricte du principe « si vous n’êtes pas avec nous, c’est que vous êtes contre nous ».
Bon j’admets, là je fais un amalgame un peu foireux, le manichéisme n’étant pas l’apanage du communisme

.
Sally (./486) :
Sinon j'aimerais bien savoir en quoi la force de volonté est aidée par l'absence d'antalgiques, elle est space ta volonté 
Sans douleur, pas besoin de force de volonté, puisqu’il n’y n’y a plus de symtôme immédiatement gênant contre lequel lutter.
Je parle bien sûr de la « force de volonté pour lutter contre les maladies », celle qui sert pour les placebos, pas celle qui sert à se lancer dans le vide pour sauter à l’élastique

.
Sans tomber dans le masochisme (après plus d’un mois de mal de tête ininterrompu, j’accepte le demi-cachet de paracétamol

), la douleur forge le caractère et peut être salutaire.