Je comprends, et j'ai déjà cité mon propre exemple (parce que c'est celui que je connais le mieux) :
A 18 mois, on m'a soigné mes bronchites (de 3 mois à deux ans, j'en faisait une tous les trois semaines, été comme hiver, et toujouts plus fortes). Les médicaments prescrits étaient de plus en plus forts, et même à ne pas prendre en-dessous de moins de 36 mois. Aucun effet. Les médecins me voyaient être un grand asmathique. Un traitement de fond de trois semaines en homéopathie : plus de bronchite depuis 27 ans.
Ok, ça ne prouve rien, c'est peut-être de la moule... mais j'y crois pas trop.
Un autre fois, j'ai eu des verrues plantaires sous chaque talon, une dizaine. Au bout de deux mois, je ne pouvais plus poser le pied par terre. Homéopathie, 3 jours après je recommençais à marcher, et en une semaine en tout, plus rien.
Même réflexion que précédemment.
Ceci dit, pour ces deux cas, la situation ne cessait d'empirer, et je ne vois pas quel élément aurait provoqué un arrêt spontané de ces maladies ou affectations.
Le premier traitement ayant été administré à un an et demi, je vois mal quel effet psycologique on pourrait y voir.
Ca ne prouve rien, de la même manière que je pourrais très bien attribuer la guérison de quelqu'un qui a pris des antibiotiques à autre chose que les anti-biotiques, sans pouvoir dire quoi. "Oui, c'est autre chose, quoi je ne sais pas, mais c'est pas son médicament".
