FarewellLe 05/09/2011 à 19:07
Tiens, ça a quel niveau, médicalement parlant, un gars qui fait des radios et les lit ? C'est une spécialité à bac + 31 ou la médaille en chocolat qu'on a quand on rate son exam ?
Je suis très étonné de celles qu'on m'a faites cet après-midi.
Suite à une chute, j'ai une douleur à une côte qui m'empêche de dormir la nuit, d'inspirer ou d'expirer fort, d'avoir le moindre retour d'estomac, de bailler, de me pencher, de m'allonger sur un matelas, de tousser, d'éternuer, de me gratter la gorge et compagnie. Faut dire que j'ai pris un sacré gadin, et pourtant dans le bâtiment j'en ai pris, on morfle souvent, et je suis pas vraiment douillet.
La douleur est variables suivant le moment de la journée ou de la nuit. Elle s'est réveillée 4 jours après la chute, suiet à un trajet de 4 heures en voiture.
La séance radio s'est déroulée en 30 secondes à tout péter, deux minutes après on m'a dit "il n'y a moins que rien, peut-être avez-vous juste mal à un ligament mais rien de plus", puis on m'a envoyé dehors sans que je puisse demander la moindre explication. OK, PEUT-ETRE !
Mais comment se fait-il que :
- avec deux radios prises sur le même plan (de face et à 45°), on puisse avoir une vision représentative du squelette ?
- que le gars puisse porter son diagnostic avec une des deux photos qui ne va même pas jusqu'à la colonne vertébrale (je suis pas bac+345690 en médecine, mais ça me semblerait important pour voir les cotes)