Sally (./22) :
Non, on éviterait juste de lui faire perdre son temps inutilement. La liberté de choisir entre se renseigner pendant 650 ans et comparer 12000 offres avec des différences qui n'ont aucune raison d'être ou se faire arnaquer (ou inclusif ) n'en est pas une.

C'est sûr que le consommateur soviétique ne perdait pas son temps inutilement à choisir entre 36 références ... Et j'ajouterai que le consommateur est libre de ne pas se renseigner, je ne vois pas le problème. Que plusieurs gammes répondent à plusieurs besoins, ça me semble tout de même le minimum.

Après on peut critiquer certaine dérive marketing qui cherchent à segmenter le marcher sans innovation derrière, mais affirmer sur un ton péremptoire ce qui est ou n'est pas une liberté est très désagréable pour les autres.