L'autre grande différence, cela dit, c'est que même s'il y a le même pourcentage de blaireaux chez les informaticiens et chez les policiers, ils y ont là l'uniforme (avec ce que ça implique) et le pouvoir, ce qui peut mener à un sentiment d'impunité, voire à un élargissement du comportement à ceux qui ne sont pas blaireaux, mais qui se laissent vite entrainer dans ce genre de débordements (ce qui, chez les informaticiens, se traduit au pire par des beuveries le soir après le taff en s'échangeant des clés USB truffées de pron

)