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The_CUrELe 30/10/2014 à 00:24
Quand c'est pas l'un c'est souvent l'autre.
Activision aura attendu deux mois avant de réagir publiquement, par la voix de son avocat, Rudolph Giuliani, ancien maire de New-York.

L'éditeur était d'ailleurs allé encore plus loin en se lançant dans une argumentation « ad hominem » « Je n'ai pas envie de donner des documents à une personne condamnée pour meurtre et trafic de drogue, comme Manuel Noriega, qui réclame de l'argent à Activision et à sa franchise Call of Duty, parce qu'ils exercent leur droit à la liberté d'expression. L'attaque de Noriega sur les droits de Call of Duty n'est pas une surprise, considérant le fait qu'il est un tyran sans foi ni loi qui a piétiné les droits de son propre peuple ».


Bowdel de couille de nèg'! ET ON DIT PAS FRANCHISE EN FRANÇAIS PUTAIN!
Bien évidemment, Activision se félicite déjà du résultat, en expliquant que « ce jugement est une victoire importante et nous voulons remercier la cour d'avoir protégé la liberté d'expression. C'était une procédure absurde depuis le départ et nous sommes satisfaits qu'à la fin un criminel notoire ne gagne pas. Ce n'est pas qu'une victoire pour les créateurs de Call of Duty, c'est une victoire pour les œuvres et les industries du divertissement à travers le monde ».


Fils de putes...