
Bon, j'avoue que j'ai zappé certains points qui me paraissaient évidents, mais on a évidemment pas tous les mêmes bases de départ. Donc je reprends.
D'un part, on a pas d'étude sur l'éducation d'un enfant par des homos, donc on ne peut rien en déduire, ni dans un sens ni dans l'autre. Exit donc les études qui n'apportent rien ici.
D'autre part, l'éducation des enfants ne date pas d'hier. Entre l'empirisme des milliards de parents que la terre a portés, et les études psychologiques sur les questions d'éducation, peut-on avoir des éléments de réponse à la question initiale ?
Ma réponse est oui, observant les besoins des enfants dans leur famille naturelle, besoins variables suivant les âges, et demandant davantage au père ou à la mère suivant leur sexe, leur âge, le tout modulé par leur tempérament.
Ca ne veut pas dire que des problèmes se poseront avec des homos, dont l'un n'est pas le parent naturel (*), simplement on ne sait absolument pas ce que ça va donner. C'est ça que j'appelle jouer aux apprentis sorciers.
* Ayant une famille recomposée, je constate tous les jours que les liens du sang ont une force irremplaçable dans bien des aspects de l'éducation.