Uther (./766) :
C'est ce qu'on a pensé pendant longtemps. On forçait les enfant a rentrer dans la norme pour éviter un traumatisme. Mais le soucis, c'est qu'on ne sait généralement pas comment la situation va évoluer avant la puberté. Et on se retrouve avec des personnes qui se retrouvent avec un sexe qui ne leur correspond pas ce qui est au final bien plus traumatisant que s'ils avaient été clairement instruit de leur situation et mis au courant qu'il pourraient choisir (ou pas) le moment venu.
Voilà. Pour le syndrome de Swyer, typiquement, étiqueter "fille" une personne atteinte du syndrome va jusqu'à l'adolescence, mais à partir de là, sans développement du bassin et de la poitrine (et avec une pilosité qui peut nécessiter un rasage), la situation bascule d'un coup et il peut y avoir un rejet de l'étiquette "fille" (comme de celle de "garçon").