Pen^2 (./778) :
Oui non mais là tu exagères, dans ce cas là je te conseille de laisser les cancers évoluer, après tout c'est une mutation d'un groupe de cellules, et il n'est pas impossible qu'on arrive à de nouvelles capacités intéressantes en laissant l'évolution cellulaire agir comme bon lui semble !

Je me suis mal exprimé, en fait.
Ce que je veux dire, c'est qu'on regarde ces syndromes avec une vision de la normalité qui est la nôtre (et que, du coup, une partie de la souffrance de ces personnes vient justement du fait que la société n'a pas de place pour elles dans ce qu'elles sont).
Imposer une binarité XX/XY fait partie totale de la souffrance de ces personnes, qui s'ajoute aux éventuels symptômes cliniques qui s'ajoutent souvent à ces syndromes.

Pen^2 (./778) :
Mmmm, c'était bien un comportement, qu'on croyait pouvoir modifier avec une intervention physique (mécanique) comme les électrochocs. Mais ça reste un comportement.

Nonon, il y a eu tout un pan de la médecine du début du XXe siècle qui estimait qu'il s'agissait d'un trouble neurologique et pas psychologique.
(Enfin, je pense qu'on n'aborde pas la chose sous le même angle du coup on n'arrivera pas à être d'accord ainsi : pour moi, que le résultat soit physique ou comportemental importe peu dans la discussion, c'est la cause probable qui est à mettre en parallèle dans les deux cas... d'autant que pour les intersexes génétiques, le problème de regard sur soi-même et sur la société n'est pas que physique mais aussi comportemental, par rapport à l'image qu'on a/qu'on veut donner de soi-même).