ZephLe 29/10/2014 à 01:25
Vous simplifiez le problème en supposant que les pauvres sont ceux qui bénéficient le plus d'un système de couverture santé public, et que ça n'intéresse pas les riches, plus ou moins le cas "du cancer" qui apparaît comme le seul élément aléatoire que personne ne peut prévoir.
Les deux plus grosses sources de dépense de la sécu aujourd'hui sont les complications liées au diabète (type 2) et au tabac, deux facteurs de risque qui me semblent pourtant découler d'un choix (inconscient, peut-être, mais en 2014 on peut légitimement commencer à se poser la question) plutôt que d'un excès de malchance. Dans une grosse proportion de ces deux cas de figure, pas de problème : vous êtes couverts à 100%. Je comprends que ça puisse faire grincer des dents.