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Pen^2Le 04/07/2020 à 04:24
http://www.slate.fr/story/191970/permis-conduire-voiture-couple-homme-volant-femme-passagere-stereotypes-genre
Même si on le rapporte à l'exposition, c'est-à-dire au taux d'accident au nombre de kilomètres parcourus par les femmes et les hommes
J'aime bien le "même si", genre c'est pas le minimum triso
(et en l'occurrence, c'est pas suffisant, car c'est pas la même chose de faire 1000km réellement, sur un trajet, et de faire 1km de de multiplier par 1000, la fatigue n'est pas exactement la même)

'fin bref, c'est amusant de voir comment ils creusent pour essayer de trouver un problème, on sent que c'est pas facile même en biaisant à mort cheeky

«Je conduis très peu donc je n'ai jamais eu de comportements de gens qui me klaxonnent parce que je suis une femme. Mais j'imagine qu'on n'aime pas s'exposer à ce genre de situations…» indique Agathe.

«En gros, cette peur tétanise et empêche de réfléchir correctement. Par exemple, des femmes vont avoir du mal à faire un créneau parce que c'est ce qu'on leur reproche le plus souvent.»
... mais qui a dit que les femmes n'arrivent pas à faire un créneau à part cet article en carton ?

lles vont considérer que l'accident est bien la preuve qu'elles sont incompétentes et cela va contraindre encore plus leurs comportements». Ainsi d'Aude, qui, c'est un comble, a eu son premier accident en allant chercher son permis à la préfecture. «Depuis, je roule à 60 km/h comme une vieille partout», exagère-t-elle, neuf ans après.
Honnêtement, ça me ferait de la peine d'être défendu comme ça triso


«S'il est lié à une prise de risque, l'accident va renforcer l'image virile», ramasse la directrice de recherches. Loin d'être perçus comme inconscients ou déraisonnables, les conducteurs sont vus comme forts: rien ne les effraie, rien ne les épuise.
Heu, j'ai jamais vu un gars se prenant un platane être valorisé cheeky


«À Noël, nous sommes remontés dans la famille, 1.200 kilomètres de nuit, pour que les enfants dorment. Plusieurs fois, j'ai proposé de prendre le volant, mais il m'a répondu que non, c'était bon, ça ne le dérangeait pas de conduire toute la route. Moi, je suis moins résistante, au bout de deux heures de nuit, je fatigue!» témoigne Morgane. «Quand on part en vacances, c'est lui qui prend le volant, on se relaie très peu, abonde Agathe. Il n'est jamais fatigué et peut conduire des heures.»
tritop


à la mise en place du couple, ça se cristallise. Chacun va prendre les tâches avec lesquelles il·elle est plus à l'aise en évitant celles où il·elle l'est moins. Ce schéma traditionnel se met en place et arrange tout le monde.
... heu, donc il n'y a pas de problème si tout le monde est content ?