https://nationalpost.com/opinion/barbara-kay-heres-what-happens-when-the-gender-gap-index-is-adjusted-for-biasÇa n'a pas fait autant de bruit dans les médias, mais en 2019 il y a eu une étude, plus inclusive, qui montre que les femmes sont, sans surprise, privilégiées dans tous les pays développés.
Un truc dont je m'étais fait la réflexion, tous les 10 ans on met un gros "méchant" sur le devant de la scène : dans les années 2000 c'étaient les pédophiles, ils étaient partout et faisaient peur à tlm ; dans les 2010 c'est les violeurs. Bien sûr comme dans la réalité c'est du fudd et qu'ils sont une partie infime de la population, on alimente ça en cherchant activement tout événement à publier, et on modifie si possible la définition pour appeler aux émotions (en Suède ils ont voté pour faire entrer l'abordage de rue dans la définition pénale du viol). Et ces méchants sont généralement des hommes. Il y a selon moi de bonnes raisons, outre le fait que ces drama appellent surtout aux femmes, les femmes contrôlent une partie disproportionnée des richesses privées dans les pays développés, et représentent 80% des décisions d'achat (on sait ça depuis les années 60). Dans une société marketée à la moëlle, on cherche à faire se sentir les gens aussi fiers et importants que possible, car si tu es important alors tu mérites le meilleur. Et comme les femmes dépensent plus, elles sont une cible privilégiée pour le marketing du "you are important lil snowflake", ou "gonflage d'ego au compresseur", et le train de la misandrie est une opportunité à ne pas éliminer pour les faire se sentir bien, car les marketeux n'ont aucune éthique.