flanker (./870) :
Zeph (./868) :
Ce à quoi je crois pas mal, en revanche, ça serait un système de messagerie dans lequel il faudrait payer une toute petite somme (idéalement avec une crypto-monnaie) pour envoyer un mail. Techniquement, ça voudrait dire réaliser une transaction en bitcoin ou autre et signer son mail avec. Ça pourrait être dérisoire, une fraction de centime, assez peu pour être négligeable pour un utilisateur normal. En revanche un spammeur qui essaierait d'envoyer 100000 e-mails et qui en aurait pour 1000€ de frais, je pense que ça serait un moyen de dissuasion assez efficace.

je pense aussi que la seule façon d'éradiquer les spams est de rendre les courriels payants (mais ça pourrait être gratuit pour les 1 000 premiers par an, par exemple).
C'est ce que compte faire ripple avec les transactions banquaires :
Lorsqu'un utilisateur effectue une opération financière dans une devise non-native, Ripple facture des frais de transaction. Le but des frais de transaction est de protéger contre les attaques de flood réseaux en rendant les attaques trop onéreuses pour des pirates. Si Ripple était complètement libre d'accès, des adversaires pourraient diffuser de grandes quantités de « spam registre » (c.-à-d. de faux comptes) et des transactions pourriels (c.-à-d. de fausses transactions) dans une tentative de surcharger le réseau. Cela pourrait entraîner un agrandissement ingérable de la taille du registre et interférer avec la capacité du réseau à régler rapidement les transactions légitimes. Ainsi, pour s'engager dans un échange, chaque compte Ripple nécessite d'avoir une petite réserve de 20 XRP, (0,16 $ en date du 3 octobre 2016), et des frais de transaction à partir de 0,00001 XRP (0,000 000 08 $ en date du 3 octobre 2016) doivent être dépensés pour chaque transaction. Ces frais de transaction ne sont recueillis par personne ; les XRP sont détruits et cessent d'exister. La taxe de transaction augmente si l'utilisateur poste des ordres à un taux énorme (plusieurs milliers par minute), et se rétablit après une période d'inactivité.