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MeowcateLe 27/11/2015 à 18:07
Kevin Kofler (./15) :
À mon avis, essayer de gérer les systèmes sans systemd dans les nouvelles applications n'a plus aucun intérêt de nos jours, on développe pour le présent et le futur, pas pour le passé.
Kevin Kofler (./15) :
plus aucun intérêt de nos jours, on développe pour le présent et le futur, pas pour le passé
Kevin Kofler (./15) :
on développe pour le présent et le futur, pas pour le passé
Kevin Kofler (./15) :
pour le présent et le futur, pas pour le passé.
Kevin Kofler (./15) :
pas pour le passé.

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Kevin Kofler :
Il y a effectivement 2 problèmes distincts:
1. Le HTML 5, qui rajoute tout un tas de tags que les navigateurs doivent gérer, beaucoup plus que nécessaire (VIDEO et AUDIO, je veux bien, pour compléter IMG* et remplacer la pourriture de EMBED/OBJECT**, mais là aussi, le standard définit des moyens d'avoir des contrôles en JavaScript, ce que la plupart des sites utilisent, alors que ça devrait être au navigateur d'afficher des contrôles adaptés à la plateforme. Tous les autres tags rajoutés dans le HTML 5 ne font que compliquer les navigateurs pour rien.), et qui oblige de facto à utiliser le CSS en déclarant obsolètes les simples tags de formatage comme FONT, B et I (déjà dépréciés à tort dans le HTML 4).2. Le "Web 2.0" (voire "Web 3.0" etc.), qui date déjà d'avant le HTML 5, avec tous ses problèmes: beaucoup trop d'accent mis sur le formatage (cf. CSS) au lieu du contenu, abus de JavaScript pour abuser du web comme plateforme d'applications et/ou pour remplacer carrément le code HTML (statique ou généré dynamiquement sur le serveur) par des générateurs de HTML côté client (beurk! sick Le principe du web a toujours été que le JavaScript doit être optionnel et qu'un site doit fonctionner au maximum possible si un navigateur ne gère pas des fonctionnalités optionnelles ou si elles ont été volontairement désactivées par l'utilisateur!), etc.

On s'est pris la tête tout un topic où tu expliques que le web "moderne" est désespérant comparé au "bon vieux temps".