Si on remplace Vénézuela par Turquie, Maduro par Erdogan et Borges par Gülen, on retrouve un scénario bien rodé,
Ca marche aussi avec URSS/Staline/Trotski, et plein d'autre avant (ou à peu près en même temps aussi d'ailleurs).
Et pendant ce temps, le peuple a le choix entre suivre aveuglément un leader et un régime qui les oppresse, ou subir un leader et un régime qui les oppresse. La différence, c'est que dans le premier cas, tu souffre pour ce que tu penses être la bonne cause.
Et à l'extérieur, on se gargarise dans un sens ou dans l'autre, bien à l'abri de notre petit confort.
Bref rien de bien nouveau dans le petit monde du thriller politique
