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TronLe 22/03/2016 à 20:44
Disons positionner lexicalement le peuple comme victime du sort, comme une proie, afin de bien le positionner comme des moutons incapables d'agir sur les raisons, causes et conséquences des évènements. Un peu comme lorsque l'on parle d'abus sexuel, il y a d'un coté les "prédateurs", les "chasseurs", et de l'autre, par opposition, la proie, fragile, sans défense. Est-ce pour éveiller le pathos de l'audi(ma)teur ou lui laver le cerveau ?