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flankerLe 30/11/2018 à 22:53
Il n'y a presque rien… dans quoi, et selon qui ?
Avec les affaires judiciaires, c'est toujours pareil : on n'a rarement autre chose que le point de vue d'une partie.
Quand on rajoute une affaire d'espionnage par-dessus, c'est pire : dans le passé (pas forcément en France — j'avoue que je ne me souviens plus bien vu que j'avais lu ça il y a longtemps, dans le KGB en France si je ne me trompe pas), on a déjà eu des procès où la justice n'avait pas toutes les cartes en main (le but était surtout de neutraliser la nocivité du gars sans révéler d'information sensible, si possible en le mettant à l'ombre et en faisant un exemple). Cela dit, il n'y a peut-être pas grand-chose dans le dossier non plus cheeky